Comme d’autres font diversion.
Submersions pour subversions. Ne pas dire.
Clichés début de siècle, une date faisant foi.
Comme d’autres sont en intervention; lâcher la bonde; ouverture d’écluses.
Se méfier de l’eau qui dort, quelques remous vicieux que l’on sent à la méfiance rasante des mouettes.
Comme des images qui seront peut-être les mêmes dans cent ans, qui plaisent aux touristes pouvant encore mettre pied à terre sèche, qui auront été enfin témoins de Quelque chose, d’assez hors de l’ordinaire pour distinguer leur témoignage, mais de « trop hors-de-danger » pour en faire une aventure dont on ressortirait héros. Bref, l’événement idéal des badauds du dimanche; ici-présente.
« La Seine sort de son lit…! même un dimanche matin!!! »
Il y a des enfants qui rigolent sur un pont de Paris, au dessus des cours houleux, ceux des eaux, toujours moins inquiétants que ceux des matières premières et des prévisions à long terme d’une émission http://www.rfi.fr/emission/20160605-matieres-premieres-marches-miroirs-tensions-geopolitiques-economiques-planete qui fait froid dans le dos, en remontant les eaux étales du canal de l’Ourcq… Sos-Méditerrannée aussi, naufragés qu’on ne dépeint pas de couleurs vives.
Le fleuve parisien alors. Images éternelles, presques rassurantes face au trop plein de chaos planétaire dont on attendrait, pour longtemps encore, et en vain, la décrue.