Improvisation sur un petit poème, l’éternité d’Arthur R, nécessité des convalescences.
Image d’en-tête: le parc Vellefaux de l’hôpital Saint-Louis.
Roses. Un textes sur le os et les corps décharnés qui ressuscitent, Bible ouverte, les oiseaux chantent dans la chapelle renaissance, décrépie, et belle pour cela.
Le son est coupé depuis le Brexit et l’augmentation des droits WordPress du blog, cf facebook.
«
Toi dans la mer
Le soleil à l’envert
Le sens retrouvé c’est
Quoi, l’éternité?
La mer dans la terre
Toi dans l’eau claire
Un rêve émergé
C’est
Un île retrouvée
Par les cieux fendant l’air
Coeur Coléoptère
Des ailes irisées
C’est tes cils réveillés
Un oiseau sur les vagues
Bonheur minéral
Le cri d’un juvénal
De Grasse à la Camargue
Etat de grâce Innée…



Puissance de la douceur
Fragilité et présence
Incarnation et reliance
Trois font la paire
Âme corps esprit
Les fils de l’indicible
Tressent du lien
Par delà les différences
Le grand tout nous relie
Il n’y a pas de rien
Ou le rien est dans tout
Plein, grand, comblé.
Douceur
Tendresse
Protection
À toi, à tous.
J’aimeAimé par 1 personne