FORCE D’ÂME

Repousser les limites de l hôpital

Un petit oiseau qui chante

— Un Decès

Dans les couloirs glauques des sous-étages

À minuit,

Réapprendre la Beauté qui vit

Sous les crânes décharnés

Les enfants aimés

D’Autrefois.

Réapprendre à chanter

Dans les jardins ou fleurissent

Les roses éternelles

Ou bien dans la chappelle

Qui nous démontre qu’on peut être belle

Car defraîchie

Apprendre à se trouver dans la nuit

Comprendre la vraie clarté du jour —

Là où le corps est bancal

Constante, bat l’Âme

Vers les Cieux poétiques, déjà,

C’est combattre le mal,

Repousser les limites

De l’ hôpital

Un commentaire

  1. Romain Grimentz · avril 21

    Quand l’âme est belle, la nature se fait poésie…
    De tout coeur avec vous Claire

    J’aime

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